Dans Il Divo de Paolo Sorrentino (2008), la perfection de la prise de vue me semble plus importante que les dialogues pour faire le portrait d'Andreotti. En lisant Gomorra de Roberto Saviano, les mots forment des images très percutantes. Dans le train qui traverse la France, les paysages défilent et j'imagine la vie dans les maisons troglodytes de la Loire. Je garde en mémoire les visages de ceux qui se donnent rendez-vous à la gare. Je regarde et regarde encore Giovanna... Bref c'est l'imagination au pouvoir.
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3 comments:
Et voilà, à cause de toi j'ai passé deux heures de ma matinée à regarder Giovanna et à lire Garance...
Je suis contente qu'elle t'ait plu! Je suis sûre que tu seras beaucoup plus productive au travail cet aprèm :)
Ah ah, j'utiliserai cet argument devant mon patron s'il me demande l'utilité de Giovanna dans mon travail!
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